Sans relâche, la vague des enfants nous rappelle à notre véritable condition : l'amour.
Les rivières coulent noir, mais nos couleurs sont notre espoir, L'ombre rôde dans le décor, mais des enfants naissent encore.
Toi, petit cœur, ouvre les yeux, tu le sais, le ciel est bleu, C'est ici que nous vivons, il y a des larmes et des chansons.
J'avais oublié le soleil, j'avais étouffé ses merveilles, La lumière de mon cœur, les mots qui chantent le bonheur.
Toi, petit homme, lève toi, ouvre tes ailes et crois en toi, Malgré les erreurs du passé, tous les jours sont parfumés.
La fêlure du vent d'hiver, les rives d'argent de la mer,
Tout est un pas vers le printemps, et l'harmonie des amants.
Toi, mon enfant, avance encore, tu as raison, tout est en or, Que tu pleurs ou que tu ris, l'univers est dans tes cris.
C'est entre nous chaque seconde, ces appels, cette grande ronde, Sous le nuage des pensées, nos âmes, déjà, sont liées.
Toi ma princesse, tu as gagné, nous sommes nombreux, désormais, À danser au fil des jours, sur le chemin de l'amour.
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